Tout savoir sur la sémiotique biophysique quantique

Publié le : 26 octobre 20218 mins de lecture

Le Dr Sergio Stagnaro est le fondateur de la sémiotique biophysique quantique (SBQ), une extension de la sémiotique médicale classique, une discipline qui étudie et interprète les signes du corps humain afin de diagnostiquer d’éventuelles pathologies, en réévaluant l’ancienne méthode de la percussion auditive, avec l’utilisation simple du Phon endoscope. Le diagnostic clinique et pré-clinique, le suivi thérapeutique, la prévention primaire et pré-primaire sont quelques-uns des résultats de la méthode SBQ.

Une approche transdisciplinaire

L’évocation des réflexes et l’interprétation diagnostique des signes (Séméiotique) se fait à travers une approche transdisciplinaire qui inclut l’étude des comportements dynamiques non linéaires et des relations entre les systèmes biologiques de notre organisme, selon les lois de la physique (Biophysique), les mathématiques des systèmes à dynamique complexe (chaos déterministe), la théorie de l’information, la cybernétique, la chimie, la génétique, la micro angiologie clinique, la théorie de l’angiobiopathie (relation étroite entre la structure-fonction du parenchyme et ses micro vaisseaux), les phénomènes de non-localité et d’intrication quantique (Quantum) observés parallèlement aux événements biologiques locaux dans l’espace-temps.

La méthode SBQ est utilisée tant pour le diagnostic clinique et préclinique que pour le suivi thérapeutique qui en découle, une fonction fondamentale pour corroborer le bien-fondé de toute approche thérapeutique, surtout lorsque la pathologie n’est pas encore apparue.

Dans le même thème : Projet Quantum : tout ce qu'il faut savoir sur la créativité quantique.

Prévention primaire et thérapie

À la suite de l’examen clinique SBQ au chevet du patient, le médecin est en mesure de diagnostiquer la prédisposition du patient aux maladies dégénératives les plus graves de nature mitochondriale, par exemple, le cancer solide et liquide, l’ostéoporose, l’athérosclérose, le diabète sucré de type 2, les maladies cardiaques, les maladies neurodégénératives telles que l’Alzheimer, le Parkinson, la SLA, etc.

En revanche, le sujet chez qui on diagnostique une prédisposition (Constitution SBQ) pourrait s’inquiéter et se poser une série de questions sur l’investigation diagnostique et la prévention à adopter, questions dont les réponses peuvent toujours être recherchées à l’aide du SBQ. En effet, une fois qu’un sujet cliniquement sain a été diagnostiqué comme présentant un risque réel héréditaire d’infarctus du myocarde, il serait nécessaire de lui suggérer d’entreprendre une démarche de prévention primaire afin de minimiser ou d’éviter ce danger.

Les traitements thérapeutiques préventifs testés jusqu’en 2011 ont pour la plupart réussi à réduire le risque réel d’infarctus du myocarde à des termes minimaux, en restant dans l’exemple, suggérant la soi-disant « thérapie verte », qui est la combinaison des substances et des styles de vie conçus pour améliorer la respiration mitochondriale, augmenter l’oxygénation des tissus et protéger les tissus, comme le régime méditerranéen étymologiquement modifié, l’exercice, la mélatonine, les histangioprotecteurs, etc.

Si le temps de latence du réflexe cardio-gastrique aspécifique, paramètre lié à l’acidose tissulaire, avait lors de l’examen initial SBQ une valeur d’un peu moins de 8 secondes, signe d’un Risque Héréditaire Réel de cardiopathie ischémique en forte évolution, toute combinaison de traitements de protection des histones, capable d’améliorer l’activité de la chaîne respiratoire mitochondriale, favoriserait une augmentation du temps de latence de ce réflexe jusqu’à un pic maximal de 12 secondes, signe d’une meilleure oxygénation histrionique et d’une production accrue d’ATP : le risque réel est rendu résiduel, mais il existe toujours. Jusqu’en 2011, on n’a jamais observé un temps de latence supérieur à 12 secondes, ou en général supérieur à 1,5 fois la valeur basale physiologique du parenchyme.

La thérapie bleue

Grâce au suivi thérapeutique favorisé par la méthode SBQ, le Dr. Stagnaro a découvert en 2011 le premier traitement de « thérapie bleue », une classe de thérapies préventives capables de rétroagir directement et rapidement au niveau génétique sur les systèmes biologiques de manière à éliminer complètement les altérations génétiques de l’ADN mitochondrial (une possibilité déjà théoriquement conjecturée en 2004), qui sont les causes principales des constitutions SBQ et des risques héréditaires réels associés. La « thérapie bleue » permet un véritable saut quantique – c’est l’une des raisons pour lesquelles elle est également appelée « thérapie quantique » – puisqu’elle permet de doubler au moins le niveau d’oxygénation des tissus par rapport au niveau de base. La valeur basale du temps de latence du réflexe cardio-gastrique aspécifique est de 8 secondes : après une « thérapie bleue », il peut doubler, tripler ou même sextupler, selon les différents composants thérapeutiques utilisés. Ce n’est qu’avec une thérapie quantique capable d’opérer un saut quantique (multiples entiers de la valeur basale) que nous pouvons assister à un travail de restructuration et de normalisation génétique, contrôlable dans le temps avec la méthode SBQ, de nature à guérir complètement les Constitutions et leurs Risques Congénitaux Réels de maladie.

La première « thérapie bleue », découverte en 2011, est liée à la technologie Ak-Tom, capable de favoriser un saut quantique d’ordre 2, c’est-à-dire de doubler le temps de latence du réflexe cardio-gastrique non spécifique (de 8 à 16 secondes). Dans la même année s’ajoute la thérapie mitochondriale de l’eau thermale sulfureuse (en particulier celle des sources de Porretta Terme) qui peut produire un saut quantique d’ordre 3 (de 8 à 24 secondes), une potentialité analogue à la thérapie quantique avec du bicarbonate de sodium associé à quelques gouttes de jus de citron, c’est-à-dire une eau dynamisée par les radiations respectives, en exploitant ses simples propriétés physiques. La dernière découverte remonte à l’été 2014 : en utilisant la technologie de la carte Ak-Tom, capable de stocker le rayonnement de substances naturelles, homéopathiques ou phytothérapeutiques, on a vu que l’information provenant du jus de noni (morinda citrifolia) est capable de générer un étonnant saut quantique d’ordre 6 (de 8 à 48 secondes). Les raisons du succès de la « thérapie bleue » sont à chercher dans les liens existants entre les principes actifs de chaque traitement et les modifications de l’ADN mitochondrial. Le diagnostic SBQ est capable de jeter des ponts entre l’évaluation clinique et les indications de la génétique et de la biologie moléculaire. En particulier, non seulement cette thérapie quantique agit positivement sur la chaîne respiratoire mitochondriale en la stimulant, mais elle agit aussi extrêmement bien sur les amas de fer/soufre, ce qui est démontré tant par l’évaluation SBQ des glycocalytiques que par la biologie moléculaire (voir par exemple la relation entre les amas de fer/soufre et les télomères grâce à la protéine RTEL1).

Le présent et l’avenir de la SBQ

De plus en plus de médecins (déjà plus de 50) dans toute l’Italie et à l’étranger apprennent et pratiquent la méthode de la percussion écoutée selon l’enseignement de Stagnaro, en participant aux cours périodiques de formation et de mise à jour promus par le SISBQ, l’organisme qui promeut l’œuvre du scientifique ligure et tente de faire connaître sa vérification et son expérimentation à grande échelle. La sagesse contenue dans le sapiential « soigne-toi avant de tomber malade » à partir d’un simple espoir, grâce aux découvertes du pionnier de Riva Trigoso, est déjà une merveilleuse réalité pour ceux qui veulent saisir ou protéger la belle fleur de la santé non seulement spirituelle mais aussi physique.

Plan du site