Le mystère de l’espace, du temps et de la gravité

Publié le : 26 octobre 202115 mins de lecture

Que sait l’écrivain, que les plus grands, parmi les scientifiques, ne savent toujours pas ? En répondant, on essaiera d’aller dans l’ordre et de ne pas perdre de vue la sérénité du jugement et l’objectivité qui, au contraire, échappe parfois de main à ces personnes qui font de la Science un exercice des « effets spéciaux », pour donner le sentiment que tout est sous contrôle et qu’il n’y a rien qui ne puisse être résolu par l’intervention humaine, et pour effet de ses compétences spécifiques.

Prenons quelques exemples : la médecine promet l’allongement de la vie des hommes et la résolution de tous les maux présents et futurs, l’astronautique garantit la conquête d’autres mondes habitables, au cas où se produiraient sur la planète Terre des événements catastrophiques, préjudiciables à la pérennité de l’humanité, et ainsi de suite. En effet, la vie des hommes, précisément à cause de l’application de technicités déshumanisantes extrêmes, devient souvent pénible et, en définitive, peu digne d’être vécue.

De même, qu’il soit clair que le jour où, sur Terre, toutes les ressources seraient dissipées et l’environnement rendu inhabitable, à cause de la contamination radioactive ou d’autres catastrophes écologiques, il n’y aurait aucune possibilité pour l’humanité de se sauver avec un exode vers d’autres planètes ! Ce serait la fin, et il n’y a pas de salut avec aucune des compétences technico-scientifiques, qui est une auto-proclamée « science exacte » seulement pour une définition « noble », certainement pas parce que ce sujet a vraiment des bases si solides et incontestables, pour avoir le contrôle absolu sur tout, avec une ponctualité mathématique.

Il ne suffit pas d’être physiciens pour connaître la physique

La science est un sujet trop « difficile » à aborder, à cause des mathématiques et de l’effort intellectuel nécessaire pour suivre toutes les notions scientifiques, qui font partie de la connaissance humaine. Par conséquent,  » dans la course  » à la découverte des mystères de la vie et de la mort, il n’y en a pas beaucoup. En dehors de cette  » plaisanterie « , qui rend supportable la condition humaine de ceux qui se limitent à lire des livres écrits par d’autres, à apprendre des notions dictées par d’autres, il est vrai que les hommes capables de  » déchirer  » les voiles du soi-disant  » insondable « , dans l’historiographie qui va de l’an 0 à ce jour, il n’y en a pas un nombre exagéré. L’homme, pour lequel le décompte du temps commence et l' »avant » est précisément appelé « avant le Christ », avait sans doute une pleine connaissance du verbe « être » et de sa signification « ontologique ». À tel point que tous ses souhaits se sont réalisés, même dans l’humilité de toujours accepter la volonté du « Père ». L’auteur pense qu’il connaissait la physique mieux que quiconque est aujourd’hui nommé pour le très convoité prix Nobel de physique ! Le « secret » le plus important est simplement de réaliser que « la volonté de Dieu s’accomplit », chaque fois que quelque chose se produit.

On a trouvé un très vieux livre, où la « méthodologie » à pratiquer est révélée, pour que chaque « désir » se réalise. En pratique, la « technique » consiste à visualiser des « lieux » inondés de lumière de différentes couleurs, à mesure que l’on s’approche de l’achèvement de l’œuvre. On commence par entrer avec l’imagination dans la pièce rouge, puis on entre dans l’orange, puis dans le jaune, puis dans le vert, puis dans le bleu, puis dans l’indigo et enfin dans le violet. Ce sont les 7 couleurs de l’octave électromagnétique de la lumière, apportées par les 8 niveaux quantiques de l’atome, dans l’ordre qui va de la coquille électronique la plus externe, à la plus interne, près du noyau et au gouffre du Vide Mécanique Quantique. C’est le lieu où habite « Celui qui pourvoit », si vous vous souvenez des articles précédents, où l’étymologie du mot a été disséquée jusqu’à remonter à l’araméen.

Comment un écrivain du haut Moyen Âge pouvait-il avoir des notions sur les 7 couleurs, des notions newtoniennes et précédant une physique atomique, qui a compris « structurellement » les 8 niveaux ? Les livres de Massimo Corbucci.

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Qui était le plus grand scientifique ?

Giuseppe Calligaris (qui est la réponse à la question), lorsqu’il occupait la chaire de neuropathologie à Rome (aujourd’hui clinique neuropsychiatrique), n’a pas reçu les honneurs accordés aux grands de la science, uniquement parce qu’il savait, à cette époque, trop de choses au-delà du connaissable. C’est pourquoi sa sagesse, a été passée par les envieux pour la méchanceté académique. On est académiquement stupide, chaque fois que l’on affirme des notions qui, pour le moment, sont « impropres ».

L’audacieux professeur a eu le courage de dire, en 1930, que sur la planète Mars il y avait des bactéries et de l’eau, à une époque où la chose semblait absurde. Les récentes découvertes faites par les sondes sur la planète rouge, concernent justement la détection d’eau et de colonies bactériennes vivantes !

Comment Calligaris pouvait-il connaître la présence de bactéries et d’eau sur une planète si lointaine, que la lumière met plus de 20 minutes à descendre ?

Parce qu’il avait vu ! En activant, sur la base de ses connaissances en électro-neuro-physiologie, des capacités sensorielles particulières propres au cerveau, qui permettent de dépasser la définition « oculistique » des dixièmes de la vue, limitée à trois mètres de distance de la table d’optométrie, et de l’étendre à une distance bien plus grande. Cela s’appelle la télé-scopie et, on vous le garantit, ce n’est pas juste un nom fantaisiste.

Tout aussi authentique est la faculté neuro-physiologique qui vous permet de « percevoir » un lieu tel qu’il était il y a dix, cent, mille ou cent millions d’années, ou tel qu’il sera dans un mois.

On vous a déjà dit que, comme on devait faire un choix de vie important, on a pratiqué la méthode de Calligaris et en ouvrant la porte du cabinet, on a trouvé l’intérieur sans plus le fauteuil dentaire. On « sait » donc qu’on aurait choisi de faire autre chose et, en fait, on est là.

Il est normal que ces choses provoquent la perplexité dans l’âme, mais si cela arrive, c’est uniquement à cause des concepts, pas du tout scientifiquement vrais, qu’on a racontés à l’école sur le temps et l’espace.

Sur la gravité, ils ont pu dire que c’est une force.

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Les 4 quantités fondamentales

En physique, on a toujours tendance à arriver à des images synoptiques, ou plutôt à l’essentiel. Même au prix de se retrouver devant quelque chose qui donne la sensation de « nudité ».

Pour cette raison, bien que dans les paragraphes des livres didactiques pour les apprentis physiciens vous puissiez trouver des formules très compliquées, où les quantités les plus disparates sont rapportées, comme la température, la vitesse, l’accélération, la résistance électrique, la puissance, la réactance, la densité, le cosinus de phi, le pH, le R.O.S. et, vous le nommez, sachez que chacune de ces « choses », qu’on a nommées au hasard, est même mesurable, à tel point que des appareils précis construits spécifiquement pour le faire, le permettent. Cependant, à la fin, savez-vous ce qui reste « en main » ? Seulement la masse, la charge électrique, l’espace et le temps !

Dans le sens où, par exemple, la vitesse est simplement un rapport entre l’espace et le temps : si on parcourt un mètre en un millième de seconde, ma vitesse est certainement considérable. Sinon, si cela me prenait une demi-seconde, un enfant sur un tricycle me dépasserait. Et on ne va pas vous parler des autres éléments mentionnés, mais quel que soit l’élément que l’on prend en considération, on tourne en rond, on revient aux 4 quidams, que l’on ne peut pas disséquer davantage.

Comme pour dire que tant Sabrina Ferilli que la « buzzicotta » du célèbre film d’Alberto Sordi, se réfèrent toujours aux atomes d’oxygène, d’hydrogène, d’azote et de carbone ; divers oligo-éléments.

Et en simplifiant encore : toujours des quarks et des électrons est fait à la fois l’un, et l’autre.

On veut dire, l’un prend de la place, l’autre prend de la place. Pour trouver la différence scientifique, on pourrait vous dire qu’on passerait volontiers de nombreuses heures avec l’un d’eux.

Ici, on a introduit le temps, qui fait toute la différence. En fin de compte, il y a une façon et une manière d’occuper l’espace et d’engager la masse physique et les effets au fil du temps parlent d’eux-mêmes.

Illusions

Oui vous avez peur, on est désolé de faire peur à vos âmes, alors on vous dira mieux l’étymologie du verbe faire peur.

Ce qu’on doit vous dire, c’est que, même s’il était donné de passer une nuit avec la belle Ferilli, effectivement la masse d’elle serait une illusion, ainsi que sa longueur et malheureusement aussi le temps joyeusement passé. Au moins la « charge » demeure ? L’érotique peut-être, mais rien de plus. Voici une brève leçon de physique, selon les frontières les plus extrêmes de la science, qui ne sont pas par hasard celles que vous pouvez faire vôtres, en me lisant.

Il me reste donc à dire que la matière est de l’espace, avec un peu de temps en plus.

L’idée inédite est que pour devenir matière, l’espace doit se dissoudre dans le temps.

De plus, la matière se retrouve ainsi à avoir « l’intérieur » de l’espace dilaté. Pour donner une idée, on peut penser au polystyrène. Il se passe quelque chose au niveau du mélange espace-temps, pour indiquer quoi, il faut trouver le bon verbe.

Le temps est venu de comprendre que pour être physicien, il faut connaître le sens des mots de manière absolument congruente.

Asseyez-vous confortablement, car vous devrez rassembler tout le courage qui est en vous pour continuer. Personne ne peut être sage s’il n’est pas fort.

Ce n’est qu’en discernant « bien » le verbe nécessaire pour indiquer ce qui se passe exactement « à l’intérieur » de la matière, du fait que son « contenu » se retrouve non pas déjà « dispersé » dans toutes les directions, mais « spanto », que l’un des plus grands secrets de la nature devient apparent.

La matière est une substance répartie dans l’espace

L’espace en allemand est appelé « spannan », qui est aussi l’unité de mesure de l’espace lui-même.

Spanto est le participe passé du verbe spandere et le verbe spargere, vous l’aurez compris, est une toute autre paire de manches. On disperse ce qui est caractérisé par une continuité spatiale et on disperse ce qui est en granules. La substance dont la matière est prisée pour être fabriquée, imaginez qu’elle est comme la polenta que votre grand-mère vous servait dans votre assiette, bien crémeuse. Oubliez à jamais qu’il peut être « granuleux » comme lorsqu’il est encore dans le sac, juste acheté, puisque l’eau n’a pas encore été ajoutée et que la cuisson n’a pas encore eu lieu.

À ce point, on vous suggère de bien relire un article, où parlant de la gravité différente qu' »il y aurait » sur une planète énorme et celle qu’il y a sur la Terre, pour vous donner l’idée perceptible de la différence, on vous a dit que là-bas vous vous sentiriez comme trempé dans la polenta de la grand-mère, alors que Dieu merci sur la Terre il est agréable de « prendre un bain » dans un cappuccino. Ceci est extrait de l’article « Soupe spatiale et trous noirs » du n° 16.

En faisant cela, vous comprendriez que la matière est une substance « crémeuse » répandue dans l’espace, car à celle dont elle est constituée, on a ajouté de l’eau.

Comme pour dire que la matière est faite de « granulés » d’espace, pétris dans un « bouillon » de temps, ce qui rend le mélange très « tartinable » !

Quel est le récipient de cuisson ?

On va vous le dire sans vous faire attendre plus longtemps. La sphère de gravité. Une sorte de cocotte-minute, très efficace pour faire de la soupe.

Morale quantique de l’histoire

La matière est donc un mélange d’espace et de temps, habilement emballé sous la forme d’une substance. Ne dites pas qu’on est ennuyeux, toujours avec l’étymologie, mais on doit vous dire que substance qui est « en dessous ».

On connaît maintenant bien l’histoire du vide quantique et on ne sera pas surpris d’apprendre que le concept de base est le suivant : sous la matière se trouve le « sous-sol » d’où « provient » son « essence ». L’effet du coït entre le vide-plein et ce qui peut le remplir. Autrement connu sous le nom de Vavohu et Tohu dans la langue hébraïque. Grâce à « Celui qui pourvoit », ne l’oublions pas.

Deux enseignements, pour ainsi dire, en ressortent. La première est que le vide quantique est comme un canal de distribution, qui n’éjecte dans l’espace tridimensionnel que des « grains » d’espace. Intangible, donc.

Ils deviennent une substance « concrète » (mais ne tombez pas trop amoureux de ce terme, car les « concrétions » sont des « grains ») par l’effet du mélange avec le temps « para-métrique ».

Savez-vous comment le mélange de quelque chose, avec quelque chose d’autre, qui « s’oppose » est possible ?

En les faisant exister alternativement (loi de H.A. Lorentz).

Avec pour conséquence qu’en réalité, le « toucher, substances » est une illusion !

L’autre leçon est la suivante : la gravité rend la substance plus ou moins dense.

Ça ne veut rien dire pour toi ? On traduit le message : ce n’est qu’en étant sur notre chère Terre, à la gravité (g) de 9,81, mètres/sec.2 qu’on peut être ce qu’on est.

En s’éloignant de la gravité terrestre, on finirait par devenir beaucoup moins cohérents et s p a n t s dans l’espace. Maintenant, on vous dit quelque chose à propos de ce mot : de spanto vous dérivez le terme effrayé ! Sachez que les astronautes, juste en orbitant à une courte distance de la Terre, ont vu, entendu et ressenti des choses très effrayantes. Non signalé ! On terminera par l’opinion sur la conquête de l’espace. C’est le cas de se rendre compte avec des réflexions de ce ténor, que vous ne pouvez pas aller « marcher » dans l’espace. Jamais. Ni maintenant, ni en l’an 3000. En supposant que l’humanité, au rythme où elle détruit tout, ne s’éteigne pas la première. La cri d’alarme est que la conquête de l’espace doit être « réfléchie ». Mieux vaut avoir compris d’abord ce qu’est la gravité.

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